Les tatouages sont devenus un phénomène de mode populaire, et une étude au fil des ans a montré qu’aujourd’hui toutes les catégories professionnelles sociales portent des tatouages: 38% des travailleurs, 19% des cadres et des pigistes et 7% des cadres supérieurs. Les tatouages sont-ils toujours discriminés dans l’emploi et le travail? En réalité, un traitement inégal et déraisonnable peut conduire à la discrimination, ce qui représente le mauvais comportement de l’employeur. Par conséquent, les tatouages ne peuvent pas être simplement interdits et utilisés comme motif d’expulsion. Dans ce cas, l’employeur peut être condamné à réparer les dommages et la clause interdisant les tatouages sera déclarée invalide. Dans certains cas de figures, il est tout de même envisageable de retirer son tatouage en fonction de son travail. Il serait stupide de risquer sa carrière pour quelques gouttes d’encres sur la peau.
La tendance du détatouage ?
Si les tatouages n’ont jamais été aussi populaires qu’aujourd’hui, de nombreux « regrets » veulent s’en débarrasser et dépenser beaucoup d’argent pour reconstruire leur peau d’auparavant. Le detatouage sans laser est la meilleure option pour ce choix. Relativement abordable, bon pour la peau, peu d’effet secondaires. Aux États-Unis, les détatouages au laser ont augmenté de 32%. La principale motivation proposée par le client est: le travail. Ce n’est donc pas un mythe que dans certains secteurs les tatouages sont mal vus et peu appréciés. Nous vous encourageons à vous faire tatouer si cela est votre choix, toutefois nous vous conseillons de réfléchir à « l’après-tatouage ». Il serait dommage qu’il vous porte préjudice.
Le tatouage en lui même n’est pas le problème en entreprise. C’est plutôt le symbole et le lieu du tatouage. Plus le tatouage est imposant et visible, plus il posera préjudice. Nous vous conseillons de ce fait, de réaliser votre tatouage dans un endroit peu visible où de réduire sa taille globale.